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Un mariage pour rire - Infos du Pays 28/06/2007


Pour fêter l'arrivée de l'été, les résidents des EHPAD et du foyer-logement de Guer et Maure-de-Bretagne se sont retrouvés à la salle communale de Réminiac. Là les attendait une fameuse surprise. Au son de l'accordéon, un cortège de mariage s'avançait.

Désirée de Moncœur de l'Abbaye épousait Aimé-Henri Canant, en présence du maire, du curé, du chroriste et d'une nombreuse assistance d'abord étonnée puis hilare. C'était, il est vrai, "un mariage pour rire" qui avait été minutieusement préparé par les bénévoles de l'association des Amis de la maison de retraite et du foyer-logement avec la complicité de l'animatrice de l'EHPAD. Après un sympathique repas qui n'était quand même pas un repas de noce, les invités ont pu danser et chanter au son de l'accordéon et de l'harmonica. Les résidents des deux établissements sont rentrés enchantés de leur journée. Cela faisait bien longtemps qu'ils n'étaient pas allés à un mariage. Robert Perrot, président de l'association des bénévoles. de Maure-de-Bretagne n'a pas manqué de féliciter Marie-France Faucheux, présidente de l'association des Amis de la maison de retraite de Guer. ainsi que les bénévoles et l'animatrice de Guer pour cette superbe animation. Le directeur de l'EHPAD de Guer, Michel Barbé, a aussi remercié et félicité tous les acteurs bénévoles et agents qui se mobilisent pour distraire les résidents.

 
     
 

 
     


 



Des noces à Réminiac - Infos du Pays 04/07/2007


Pour célébrer l'été, les pensionnaires de la maison de retraite de Maure avaient rendez-vous avec leurs homologues de Guer, à la salle des fêtes de Réminiac.

Quelle ne fut pas leur surprise de se trouver plongés au milieu d'une cérémonie de mariage comme celle qu'ils avaient vécue dans leur jeunesse. Les deux futurs époux n'étaient pas n'importe qui : Aimé-Henri Canant, apothicaire de son état, était fils du sieur Hilary Canant et de Dame Philomène de la Tronche en Biais, domicilié à Cure-Pochon. La future mariée n'était autre que Désirée dé Moncoeur de l'Abbaye, fille de Germaine Courtepatte et de Julien De Moncoeur de l'Abbaye, domiciliée au château de la Pompe-Gué. Rien ne manquait. En plus des deux mariés, indispensables, les amis en grand costume, le maire portant fièrement son écharpe, le curé et son choriste formaient avec Bécassine un cortège haut en couleur. Pour corser la chose, la teneur des apports des deux époux était publiée par le détail, à haute voix et dans la langue du cru. Dans un discours bien senti, monsieur le curé invitait les mariés bien élever leurs enfants dans la religion de leurs pères. Après la cérémonie religieuse, le cortège s'ébranla à travers la salle au son des chansons d'autrefois pour le plus grand plaisir des résidents. Le repas de noces auquel tous étaient invités n'était pas triste lui non plus et pour faire la digestion, les cartes et les palets occupèrent sainement le reste de l'après-midi. Encore un bon souvenir à engranger!